Ce soir, avec Akikazu, on a été voir le film Sherlock Holmes.
Il était évident que j’allais aller le voir. Un film qui réunit Robert Downey Jr. (!!!) ET Jude Law, ça me paraissait difficile de passer à côté.
Je sais pas depuis combien de temps j’attendais qu’il sorte, sûrement depuis la sortie de la première bande annonce sur le site Apple US. Donc un bon bout de temps quand même je crois. Plus j’attendais, et plus je me disais que ce film allait forcément être génial. Parce que oui, comme beaucoup de monde, plus j’attends et plus j’idéalise.
Et bien je n’ai pas été déçue. J’entendais partout, enfin plutôt par les puristes, que ce film était une honte car dénaturait totalement l’esprit des livres de Sir Arthur Conan Doyle, que c’était un film trop porté sur l’action, que ce film était ceci, cela. Après, je ne parle pas des critiques presse, ça fait belle lurette que je n’y prête plus attention (vraisemblablement j’ai des goûts de merde :D).
Alors certes, nous sommes pas dans la représentation habituelle qu’on peut se faire de Holmes et Watson. Holmes ici se situe plus dans le style clochard amélioré avec un Watson dans le genre très élégant et beaucoup trop dans l’action.
Malgré tout, on retrouve parfaitement l’esprit analytique de Holmes. La réalisation est telle que certaines scènes ont été tournées d’une façon qui montre parfaitement cela.
J’ai trouvé les acteurs formidables, quasiment tous (j’ai un problème avec l’actrice qui joue la fiancée de Watson, je me la remets pas depuis que je l’ai vu dans Orgueil & Préjugés :p). Mark Strong est formidable dans son rôle de méchant, sa voix est absolument parfaite pour son rôle. Et puis il y a Jude Law. J’avais du mal avec sa moustache il y a quelques mois et puis en fait on s’y habitue mais grave. Et surtout, il y a Robert Downey Jr. quoi. Qui en l’espace de peu de temps est devenu un acteur bankable (et c’est pas trop tôt).
Bref, je suis nulle en critique de film alors je me tente même pas d’en faire une quoi. Je vous dis juste ce que j’ai apprécié en somme. Et quand on réfléchit, j’ai tout aimé. Acteurs, image, musique, tout.
Encore.

