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Publié le 1 mai 2012, par dans Livres.

Mary Ann en automne Armistead MaupinEt oui, je reviens vous embêter avec un petit article « littéraire ».

Cela fait quelques années maintenant que j’ai commencé à lire les Chroniques de San Francisco d’Armistead Maupin. Au début, j’avais débuté par curiosité. Et je me suis laissée prendre dans ces livres.

Puis surtout, après le 6ème tome « Bye bye Barbary Lane », il a fallu attendre un bon moment avant d’avoir droit au 7ème tome « Michael Tolliver est vivant » et je me suis replongée avec délices dans ces fameuses Chroniques.

Alors quand le 8ème tome est sorti, cela va sans dire que je l’ai acheté.

C’est toujours avec la même facilité qu’on replonge dans l’histoire des protagonistes de Barbary Lane. Même si j’avoue que pour le coup, mes souvenirs du 7ème tome sont un peu plus flous que les autres tomes comme je ne l’ai lu qu’une seule fois. De ce fait, en entamant le 8ème tome, il m’a fallu faire quelques efforts de mémoire pour resituer les personnages.

Mais malgré tout, je reste toujours épatée par les talents de conteur d’Armistead Maupin. Par là j’entends que finalement, ce sont toujours des histoires assez simples et à chaque fois, je suis transportée dans l’histoire. Cela ne manque jamais, je dévore toujours chaque livre. Pour vous dire, celui-là a tenu 3 ou 4 jours et encore parce que je me suis contrôlée.

Pourtant Mary Ann n’est vraiment pas le personnage que je préfère le plus. C’est peut-être même celui qui m’énerve le plus parmi tous les personnages et pourtant, on suit quand même son aventure avec intérêt. Cette fois-ci, on est transporté dans notre époque pratiquement comme on voit quelques allusions à Obama et tout.

La magie d’Armistead Maupin est de savoir créer une atmosphère, atmosphère qu’on ne perd jamais au fil du livre, et je pourrais même dire DES livres. Même si cela pourra apparaitre pour de la littérature facile, je trouve qu’il faut quand même un certain talent pour ça.

Je ne vous parlerai pas de l’histoire car franchement, ça ne sert pas à grand chose si vous n’avez pas lu les tomes précédents. Quand on ne connait pas les personnages, commencer par ce livre serait littéralement frustrant car on ne connait qu’un pan des « héros ».

De ce fait, je ne vous dirai qu’une chose. Essayez le premier tome. Et vous aurez envie des suivants. Moi je peux vous dire que j’ai hâte d’avoir le tome 9 entre les mains.

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Publié le 30 avril 2012, par dans Jeux Vidéos & Actus.

Kinect HérosJe crois que j’ai plein de jeux auxquels je joue et que je n’ai toujours pas pris le temps de reviewer ici. De ce fait, je commence aujourd’hui avec Kinect Héros : Une aventure Disney-Pixar.

Et sachez qu’à venir, vous aurez droit à Kinect Star Wars et Zumba Fitness Rush. Mais chaque chose en son temps si vous le voulez bien.

Donc globalement dans Kinect Héros, vous allez pouvoir incarner des personnages dans certains films de Pixar : Ratatouille, Les Indestructibles, Toy Story, Cars et Là-Haut.

Je ne vais pas vous faire un test traditionnel comme d’habitude parce qu’avec ce jeu, je crois qu’il me serait difficile de le faire.

Déjà pour commencer, je peux vous dire que j’ai joué qu’en coopération et jamais en solo. Et de ce fait, je peux d’entrée de jeu vous dire que je trouve que la gestion de la coop est étrange car pour jouer à deux avec son propre profil xboxlive, il faut naviguer dans les menus comme un perdu si on veut retrouver notre personnage créé au début. Je m’explique, d’habitude pour les jeux qui gèrent la coop, il suffit de se pointer à l’écran, et généralement de lever la main à l’écran. Là, souvent, on est connecté en tant qu’invité. A partir de là, suffit d’entrée dans le menu, de se connecter à son profil xboxlive et roulez jeunesse.

Dans Kinect Héros, ce n’est pas tellement le cas. On se pointe certes à l’écran pour jouer. On se log bien avec notre compte xboxlive et à partir de là, on navigue dans les menus pour récupérer notre personnage. Alors je ne sais pas si c’est moi qui fait pas bien quelque chose mais c’est sacrément lourd. Et évidemment, ne sortez surtout pas de l’écran pour aller chercher un truc parce qu’il faudra tout recommencer au niveau de l’identification.

Hormis ce désagrément, le jeu reste plaisant. Quand on crée son personnage, il essaye de se coller au mieux à vous en version enfant (oui bin, c’t’un jeu pour enfant, ils allaient pas vous coller un adulte). Ce jour-là, j’étais en pantalon noir et débardeur kaki, mon personnage avait un pantalon noir et un débardeur kaki. Et si mes souvenirs sont bons, les cheveux coïncidaient plutôt bien à mes propres cheveux.

Bref, on saute dans le jeu. Vous vous retrouvez dans une sorte de parc d’attraction. Vous vous déplacez en faisant aller vos bras et ainsi vous naviguez dans les différentes parties du parc qui vous permettront de lancer une aventure d’un des films.

Globalement, vous êtes projetés dans l’univers du film que vous avez choisi avec un scénario en place (genre la 1ère aventure de Ratatouille est de faire en sorte d’aider je sais plus qui à se libérer d’un bocal). Vous collectez les pièces qui se trouvent sur votre parcours. Et pendant le parcours vous avez des actions à faire avec des gestes plutôt simples et faciles d’accès. Franchement, j’ai 27 ans et j’ai trouvé ça amusant. Je vous laisse imaginer avec des enfants de 8-10 ans.

Quoiqu’il en soit, là où le bât blesse, c’est qu’au bout d’un moment, c’est toujours la même chose peu importe l’univers choisi. Les actions à faire sont toujours les mêmes et de ce fait, le manque de renouvellement fait qu’on peut finir par s’ennuyer.

Conclusion, quand on joue à ce jeu, faut y jouer par session parce que sinon, on va vite se lasser. Après, je raisonne comme ça du haut de mes 27 ans, mais je ne sais pas tellement ce qu’un enfant en penserait (j’en ai pas de cet âge-là sous la main :D).

Mais j’ai quand même aimé le fait qu’on retrouve nettement les univers des films. Et que finalement, tout ça est bien réalisé. Je me dis que les enfants seraient surement meilleurs juges que moi mais malgré tout, je peux pas me cacher non plus du fait que j’ai quand même aimé.

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Publié le 26 avril 2012, par dans Blabla.

Allez, aujourd’hui, un petit article plus léger que les derniers bouquins que j’ai lu (bon ok, c’est pas de la grande littérature mes bouquins mais les chaussures, c’est quand même plus léger que des livres, non ?).

Parce que oui, aujourd’hui, je me suis rappelée d’un communiqué que j’ai reçu il y a… Pffff au moins tout ça, il doit dater de janvier ce communiqué pour vous dire. Et je me rappelle donc qu’à l’époque, je m’étais dit : tiens, depuis quand Adidas fait des chaussures de ville (comprendre qui ne ressemblent ni de près ni de loin à des baskets).

Et du coup, je me suis posée la question du : est-ce que quelqu’un les a déjà vu quelque part ? (oui je sais, je pourrais me déplacer et aller voir dans un Adidas mais je sais pas pourquoi je préfère vous poser la question). Je me dis que c’est peut-être normal car il s’agit peut-être de la collection été qui ne serait éventuellement pas encore sortie.

Adidas Compensées

Je sais pas, je me dis que certaines d’entre vous ne vont peut-être pas aimer à cause des lacets (qui est bien le seul truc qui peut rappeler la basket) mais finalement, je crois que c’est ce que j’aime chez elles. Elles existent aussi en total look noir.

Mais il n’y a pas que ça qui m’a étonnée chez Adidas, il y a cette paire là :

Adidas Escarpins

Cette paire qui pour le coup est nettement plus ville que sportive avec son petit talon (et cette paire existe aussi avec le bout noir et l’élastique noir, le corps de la chaussure en beige et le talon et l’empiècement en bleu).

Je serais très curieuse de les essayer pour voir la confortabilité de la chose car sachant le prix de ces chaussures, elles ont tout intérêt à être confortables ! (160 pour les sandales compensées et 130 pour les « escarpins »).

Bref. C’était mon moment futile du jour. Les chaussures et moi, c’est quelque chose quand même…

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Publié le 26 avril 2012, par dans Blabla.

Si je vous dis Coyote, vous savez de quoi je vous parle ?

Mais si Coyote System, vous savez, le leader de l'assistance communautaire à la conduite. Coyote, la solution d’informations géolocalisées permettant de communiquer en temps réel et en fonction du trajet de l’automobiliste, les variations de limitation de vitesse, les perturbations routières et tous les aléas de la route. Je sais pas vous mais moi, j'en avais entendu parler à la télé (oui je sais, ce n'est pas nécessairement une référence mais c'est comme ça :p).

Et bien, saviez-vous que Coyote System sortait un tout nouveau Coyote ? Non ? Et bah maintenant vous êtes au courant, oui oui.

Vous allez me dire, en quoi ça te concerne comme tu conduis pas ? Et bah ça me concerne parce que je connais des gens qui conduisent et qui pourraient être intéressés par le truc.

Et puis bon, en lui-même, le boitier, je le trouve plutôt joli. Un design tout en sobriété mais qui reste élégant.

Nouveau Coyote

Nouveau Coyote

Mais une des choses qui retient le plus mon attention, c'est bien la fiabilité des alertes. Il a toujours été important pour Coyote d'améliorer la qualité des informations qui transitent entre les abonnés. Car vous l'aurez bien compris, si des alertes vous en recevez, c'est bien grâce à la communauté d'utilisateurs qu'il y a derrière. Et pour cela, Coyote a mis en place des systèmes qui permettent de trier les alertes pour en éliminer les fausses déjà, et en plus avec ce que Coyote appelle la Confiance Eclaireur, cela vous permet de connaître la qualité de l'information via un indice de confiance.

En plus de cela, pour permettre de fournir une fiabilité des alertes à toute épreuve, Coyote a doté son appareil d'un accéléromètre qui permet ainsi de vous tenir au courant des zones à risques même en cas de perte de signal dans un tunnel. 

De même, de nombreuses fonctionnalités enrichissent l'utilisation que l'on peut faire du Nouveau Coyote. Par exemple, le Nouveau Coyote est doté d'un système de prévention anti-somnolence et également d'un système d'alerte des bouchons indiquant leur cause et leur durée.


Le nouveau Coyote est déjà disponible sur le site officiel www.moncoyote.com et prochainement chez les revendeurs agréés pour un prix conseillé de 199€ TTC, comprenant 1 mois d’abonnement offert.
Conditions d’abonnement :
•    abonnement mensuel 12 € ( 1 mois supplémentaire offert )
•    abonnement annuel 144 € ( 1 mois supplémentaire offert )
•    abonnement 2 ans 250 € ( 3 mois supplémentaires offerts )
 

Bref, je conduis pas mais c'est le genre de trucs que je trouve utile. Vous trouverez toutes les informations que vous voulez sur le site du produit : http://nouveaucoyote.fr/.

Article sponsorisé

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Publié le 23 avril 2012, par dans Livres.

Un Jour David NichollsOui, encore un article sur un livre. Et encore un article sur un livre dont un film a été tiré et que j’ai vu avant de lire le livre (ça va, vous suivez ?).

Un Jour de David Nicholls. Quand j’ai vu le film avec Jim Sturgess et Anne Hathaway et que j’ai su que c’était tiré d’un bouquin, j’ai immédiatement eu envie de le lire. Je sais qu’il vaut mieux lire les livres avant de voir les films et généralement je préfère moi aussi mais parfois, on a de belles surprises quand on est ignare comme moi et qu’on découvre les livres après. Le seul bémol à la chose, c’est qu’en lisant le livre, on reste parasité par le film. Par là j’entends qu’on ne fait plus d’effort d’imagination car tous les personnages sont désormais illustrés par le film. Mais bon, on a déjà vu parasite plus moche que Jim Sturgess, non ? 😀

Le livre en lui-même se lit plutôt rapidement et facilement. C’est un bon roman qu’on peut facilement apprécier sur la plage (par exemple) car il n’est pas prise de tête. On est pas dans un chef d’oeuvre de littérature mais cela n’empêche que je l’ai bien aimé.

Pour ceux qui ne le savent pas, le 15 Juillet, c’est le jour de St Swithin. C’est aussi le jour où Dexter et Emma font plus amples connaissances (je pourrais même dire, se rencontrent). De ce fait, pendant tout le livre, à partir de cette première date, nous allons suivre l’évolution de Dex et de Em’ chaque 15 juillet année après année (un chapitre en général = un 15 juillet de telle année).

Un coup on est plus dans la vie de Em’, un coup on en apprend plus sur celle de Dex. D’année en année, ils passent leur temps à se trouver, à se perdre, à se retrouver. A vivre leur vie en somme. On connait tous ce genre de chose, les meilleurs amis qu’on avait à une époque, à se dire qu’on sera amis pour la vie (mais oui) mais au fond de nous, on sait très bien que ce genre de chose est difficile à entretenir et à conserver.

Je pense que c’est pour cela que finalement, ce récit peut facilement nous toucher. On n’a pas spécialement affaire à des héros intouchables. Ca peut être n’importe qui. Ils ne leur arrivent pas spécialement des trucs de malade (bon un petit peu, enfin, façon de parler – vous avez qu’à le lire d’abord) ce qui rend les personnages attachants. On adore les détester, on adore les aimer.

Le film est plutôt réussi compte-tenu du livre. Il y a quelques inexactitudes mais ça ne gène pas tellement l’histoire. Au contraire, elle gagne en fluidité dans le film. Parce que parfois, il est vrai que certains passages peuvent être assez longs mais rien de bien dramatique.

Bon. Personnellement, moi aussi je veux un Dexter Mayhew dans ma vie. Ou alors, formulé autrement, je veux bien être la Emma Morley de quelqu’un.

Lisez-le.

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