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Publié le 17 juin 2013, par dans Réflexions.

Ouais je sais. Mon titre est à chier et c’est qu’une grosse copie (inspiration plutôt, c’est plus joli de dire ça comme ça). Les enfants, parlons peu, parlons bien. Les sentiments. C’est une grosse merde, non ? Ou disons plutôt que tout a une fin, même les bons sentiments. Vous allez me dire que je suis bien pessimiste, bla bla bla. Admettons. Au début, c’est joli, c’est rose, c’est charmant et ça pétille. Et quand c’est comme ça, on voudrait que ça dure éternellement, on flotte sur notre petit nuage, et on se dit que vraiment, les sentiments, ça donne des ailes (non, pas redbull, pffff) et qu’on n’imagine pas comment on pourrait être plus heureux.

Et puis ça tourne mal. Y a toujours un moment où ça tourne mal. Généralement, le moment où on s’y attend le moins. Sinon, ce serait pas drôle. C’est là qu’on se dit que les sentiments, ça serait quand même plus facile s’ils n’existaient pas. On les enterre, on les étouffe et puis ils disparaissent. Comme ils sont venus, aussi soudainement, comme si rien de tout ça n’avait existé. Et vous le savez aussi bien que moi, ce que je viens de dire finalement, ça marche aussi bien en amitié qu’en amour.

Mais justement, quand il y a rupture, pourquoi s’obstiner à vouloir côtoyer les gens qu’on a aimé (NOTEZ LE PASSÉ DE LA PHRASE, il a toute son importance) ?

Parce que finalement, s’il y a bien une chose que je trouve malsaine, c’est de chercher à côtoyer ses ex. Je vous parle pas des ex qui ont duré le temps d’une saison (ou même, moins qu’une saison), ceux qui ne marquent pas plus que ça, ceux avec qui on ne s’est pas tellement engagé parce qu’on était juste là pour passer du bon temps ou ceux dont on se rend compte suffisamment tôt que c’était une erreur et qu’on arrive à stopper la casse avant que ce soit irrémédiable. Ceux-là, on a le choix :
– de les oublier et de ne plus jamais les revoir, et généralement, il n’y a pas tellement d’effort à faire, ça se fait naturellement, et ce n’est absolument pas weird de retomber dessus un jour ou l’autre
– de les garder près de nous parce qu’on s’est bien amusé, c’était sympa mais on est réaliste, c’était pour le fun et à côté de ça, on continue à apprécier leur compagnie
Parce que finalement, avec ses ex là, on a jamais mis beaucoup de soi dans l’histoire, donc on n’a pas perdu de plumes.

Je ne sais pas tellement si je suis très claire là-dessus. J’avoue que ce n’est pas la chose la plus aisée à décrire.

En tout cas, ceux dont je veux vous parler, ce sont des Ex. Oui, avec un grand E. Ceux qu’on a aimé, vraiment (ou tout du moins qu’on pense avoir Aimé – au final, on est jamais très sûr jusqu’au prochain, non ? ^^). Ceux-là où on veut juste mourir quand ça se termine, ceux qu’on veut maudire jusqu’à la fin des temps, ceux qu’on voudrait pouvoir effacer comme dans Eternal Sunshine of the Spotless Mind. Et bien je vous avoue que ceux-là, j’ai du mal à comprendre pourquoi on peut vouloir les garder dans notre vie. Même si tout est clair, même si on est complètement aware (coucou JCVD) du fait que c’est fini et qu’au final, on est bien d’accord que ce soit fini, que tout est bien intégré, digéré, et tout ce que vous voulez. Pourquoi vouloir foutre de l’huile sur le feu en restant dans les parages ?

Parce que les sentiments, on a beau dire tout ce qu’on veut, qu’ils disparaissent aussi rapidement qu’ils sont venus, ça peut aussi revenir aussi rapidement qu’ils ont disparu (c’est très spirituel ce que je viens de dire là). Pas de la même façon, d’une manière plus fugace, différente. Ce n’est plus de l’amour, c’est un truc qui reste. De la nostalgie, de la mélancolie, des revival. Tout ce qu’on ne veut plus en fait. Parce qu’en général, allez, dans 90% du temps, on ne veut plus rien entendre de cette personne (les 10% restant, ceux qui disent que leur Ex est devenu leur meilleur ami sont des gens étranges, des gens qui se voilent aussi un peu la face en fait, mais ce n’est que mon opinion). Le(a) revoir, c’est juste un rappel de votre échec. C’est presque plus (surtout) une histoire d’ego qu’autre chose (d’ailleurs, à mon sens, les gens qui veulent récupérer leur ex, c’est pour moi qu’un truc d’ego, c’est ridicule, c’est pas bon, et ça peut pas bien finir en partant de ce constat).

De toute façon, comment tourner correctement la page si l’autre est toujours en train de roder dans les parages. Est-ce par pur égocentrisme ? Genre, « je lui étais tellement indispensable que de toute façon elle (il) ne peut pas se passer de moi alors évidemment qu’on va pouvoir rester ami, elle (il) ne pourra jamais résister à l’idée qu’on reste en contact ». Bah en fait, j’ai envie de dire LOL. Sérieusement, qu’est-ce qui motive qqn pour vouloir rester en contact avec un(e) ex ? J’ai beau chercher. J’ai beau essayer de comprendre. C’est non. Doublement non. C’est une idée complètement con. Même quand ça fait 5 ans, 10 ans, 15 ans, peu importe. Perso, la mélancolie des sentiments, c’est un truc que j’évite. Quand une histoire se termine, elle est terminée. Point. Faut arrêter de chercher midi à quatorze heure.

Les sentiments, c’est un truc bizarre. Un truc que par moment, on voudrait ne pas ressentir. Et surtout, un truc avec lequel on ne peut pas jouer. On y va, ou on y va pas.Y a pas de demi mesure en la matière (comme en amouuuuur – je sors). Les ex. On garde pas. Ça sert à rien, ça n’apporte rien. Y a plus rien à retirer d’une histoire morte. Pourquoi insister ?

PS : ceci est un article de merde. Mais alors bien bien bien <3

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Publié le 15 mai 2013, par dans Réflexions.

J’avais envie de vous pondre un truc à la con. Je crois que j’ai ptet trouvé ma trame à suivre… Enfin on verra, on parie combien que je vais commencer sur un truc et que je vais finir sur totalement autre chose ?

Il n’y a pas si longtemps avec Aki, en discutant, elle en est arrivée à la conclusion que finalement il y avait beaucoup d’ « handicapés » du coeur. Le terme peut faire sourire (en tout cas, moi c’est le cas) mais dans le fond, c’est peut-être pas faux. Je sais pas si je me considère moi-même dans cette catégorie mais remarquez, ce serait pas si fou.

Quand on est jeune, pour sa vie sentimentale, on imagine toujours plein de trucs. On se dit qu’on va rencontrer l’homme de sa vie, un genre de prince charmant, que ce sera évidemment le coup de foudre, qu’on va se marier, que ce sera pour la vie, qu’on aura des enfants, une maison, une voiture, un chien et le meilleur boulot au monde, blablabla. Je vous fais pas de dessin, je suis sure que vous voyez EXACTEMENT ce que je veux dire.

Puis la vie en a décidé autrement. Mais c’est pas le cas de tout le monde. Pour certaines (ou certains ne soyons pas sexiste) ça se déroule plus ou moins selon le plan. Ok, le 1er mec rencontré c’était pas l’homme de votre vie mais dans les suivants, y en a eu un et le chemin est resté assez doux pour en arriver là.

Et puis il y a les autres. Ceux qui pensaient avoir pris le bon chemin et se rendent compte, au bout, que c’était une grossière erreur. Et que faire machine arrière est extrêmement compliqué. Parce que c’est le genre de truc qui change une personne. Alors, il y a un avantage à la chose, finalement, on fait parti de ceux qui peuvent dire (si tant est que c’est quelque chose dont on se vante) qu’on a expérimenté la souffrance d’un coeur blessé (c’est guimauve ce que je viens d’écrire là, je suis honteuse). Et finalement (bis), c’est ce qui peut faire qu’on en devienne des « handicapés » de la relation sentimentale car comme on dit chat échaudé craint l’eau froide. A tord ou à raison, il y aura toujours des partisans pour ces deux choses. A tord parce qu’il est possible qu’on se prive de certaines choses par excès de prudence et à raison parce qu’on sait qu’on n’a pas spécialement envie de repasser par là.

Je ne sais pas spécialement dans quelle catégorie je me mets. Il parait que je n’ai pas encore fini mon chemin et que j’en ai encore pour quelques temps. Je peux vous dire que je suis ravie qu’on ait pu me dire ça (et je peux vous dire qu’il y a plusieurs sources là-dessus). De ce fait, je crois que je ne sais pas encore. Enfin si je sais. Au fond de moi, je sais très bien que je vais faire parti des gens extrêmement prudents. Déjà, parce que j’ai toujours été comme ça et qu’aujourd’hui, rien n’a amélioré la chose.

Ce qui fait que les gens qui veulent me caser, j’ai envie de dire que ça n’aide absolument pas. J’arrive pas à comprendre les gens qui veulent caser d’autres gens. Je suis pas malheureuse en étant seule hein. Je le vis plutôt bien. Je crois même que je peux dire que je recherche pas particulièrement de mec. Pas forcément parce que je suis trop prudente, blabla, peut-être parce que j’ai pas envie. Mais bref, tout ça pour dire, arrêtez d’essayer de me caser. Ca marchera pas. Quand j’aurais envie de me caser, je le ferai. Je crois que je suis assez grande pour ça, non ? Aujourd’hui, je veux juste qu’on me laisse tranquille avec ça. Il se passera ce qu’il se passera ou pas. On verra bien avec qui ou personne. Et pis laissons faire les choses, c’est tellement plus drôle de ne pas forcer le destin, non ? (oui, c’est moi qui dis ça, celle qui déteste par-dessus tout ne PAS savoir). Bon par contre, je veux bien qu’on me cajole, parce que là, en écrivant mes conneries, je suis en train d’écouter une musique qui donne envie d’un peu de tendresse :3

Sur ces bonnes paroles, je vous laisse reprendre le cours de vos activités. Ca valait pas la peine de vous arrêter hein ? ^^

PS : en me relisant, je me dis qu’il n’y a aucune trame dans cet article et que je pars dans tous les sens. Comme toujours me direz-vous <3

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Publié le 8 mai 2013, par dans Cinéma.

L'écume des jours

Je suis particulièrement embêtée pour vous parler de ce film. J’ai toujours dit que j’étais particulièrement mauvaise quand il s’agissait de faire une « critique » de film mais pour celui-ci cela devient d’autant plus vrai car je ne sais même pas par quoi commencer. Au départ, tout ce que je savais, c’est que je voulais aller le voir parce que c’était un film de Gondry. Je fais partie des gens qui n’ont pas lu L’écume des jours de Boris Vian donc une chose est sure, c’est qu’en allant voir le film, je n’étais pas cannibalisée par le roman. Mais après l’avoir vu, je me dis que, peut-être, j’aurais mieux fait de lire le livre avant. Je pense que des choses m’ont échappées et que je suis peut-être passée à côté.

En sortant de la séance, j’étais pas tellement capable de dire si j’avais aimé ou pas. Maintenant, je pense pouvoir dire que j’ai aimé le film. Ce film m’a tellement surprise en fait. Je savais que ça allait être surréaliste, loufoque, absurde, tout ce que vous voulez. Mais je ne pensais que ça allait être à ce point-là et surtout aussi rapidement. Dès le début du film on est déstabilisé. D’ailleurs, je me suis tout de suite dit qu’Akikazu allait détester. Et ça n’a pas loupé, elle a détesté.

Pour vous faire le pitch, on suit l’histoire de Colin (Romain Duris) qui possède suffisamment d’argent pour ne pas avoir besoin de travailler. Il a un cuisinier Nicolas (Omar Sy) qui est aussi son avocat (et son gestionnaire si j’ai tout compris), mais il aime cuisiner pour Colin parce que ça le détend. A côté de ça, il y a Chick (Gad Elmaleh) qui est son ami le plus cher qui voue un culte à Jean-Sol Partre. Ce dernier rencontre une fille, Alise (Aïssa Maïga), et de ce fait, Colin aussi veut être amoureux. C’est ainsi qu’à une soirée il rencontre Chloé (Audrey Tautou). Ils vont finir par se marier et nagent littéralement dans le bonheur, jusqu’au jour où on découvre une étrange maladie à Chloé : elle a un nénuphar qui grandit dans le poumon. Colin va devoir se mettre à travailler pour payer les soins nécessaires à Chloé…

Visuellement, ce film est assez fort. On commence dans une profusion de couleurs, on peut être émerveillé par tout l’univers qu’a développé Gondry (personnellement je suis particulièrement fan de la sonnette qui se barre dès qu’elle sonne et qu’on doit écraser comme un cafard pour l’arrêter). Puis, au fil des événements, ces couleurs se délavent ce qui va de pair avec l’ambiance qui devient de plus en plus lourde et oppressante. Les expressions prennent littéralement vie sous la caméra de Gondry comme par exemple après le mariage de Colin et Chloé, le couple nage dans le bonheur et ce sera exactement ce qu’on voit à l’écran. Ce que j’aime aussi, c’est qu’on ne tombe pas dans le pathos dégoulinant parce que finalement, ça aurait pu être le danger du truc quand on voit l’histoire.

Les acteurs sont plutôt bons dans leurs rôles. Audrey Tautou a réussi l’exploit de ne pas me gaver et ma foi, ça, c’est déjà énorme (tout comme Charlotte Le Bon en fait). Romain Duris est parfait dans son rôle de jeune homme un peu naïf. Et ça fait presque plaisir de voir Gad loin de ses rôles comiques habituels.

Je ne peux pas vous dire d’aller voir ce film. Je sais juste que moi j’ai aimé.

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Publié le 5 mai 2013, par dans Musique.

Bénabar en Aparté

Mon dernier concert de Bénabar, c’était en mars 2012. Déjà. L’impression que c’était il y a pas longtemps mais en même temps que ça faisait des lustres. De toute façon, j’en ai jamais assez avec les concerts de Bénabar et je crois que ça, vous commencez à le savoir.

Quoiqu’il en soit, après sa tournée avec Les Bénéfices du Doute, Bénabar repartait sur les routes avec une nouvelle tournée « En aparté ». Le concept était quelque peu différent de ces précédents concerts, cette fois-ci, il avait décidé de se produire sur des scènes sur lesquelles il ne s’était plus produit depuis au moins 10 ans lui donnant aussi l’occasion de faire des chansons qu’il ne faisait plus trop (ou moins souvent) sur scène (c’est comme ça que je me suis retrouvée à aller au Colisée de Roubaix). Et contrairement au dernier concert où on a vu l’arrivée des choristes et de plus de musiciens, cette fois-ci, on retrouve Bénabar avec juste 5 musiciens. Comme à l’ancienne quoi. Et comme j’aime en fait.

Je sais plus depuis combien de temps j’ai acheté les places mais ça a été un peu l’hystérie. Cette fois-ci, je me suis réveillée un peu tard pour acheter mes places (enfin un peu tard, je les ai achetée en octobre quand même) et du coup, j’ai pris les places les plus proches que je pouvais au balcon mais c’était pas encore assez proche pour moi. Akikazu vous dira que je chipote mais que voulez-vous, la groupie qui est en moi veut toujours être plus près.

On a eu droit à une 1ère partie que j’ai vraiment apprécié. Souvent, je suis mitigée pour les 1ère parties mais là Emilie Gassin m’a convaincue au point qu’à la fin, je suis allée acheter son EP (le truc qui m’arrive quand même rarement en concert). J’aime beaucoup la voix de la demoiselle et ses chansons sont très agréables. Bref, elle nous a fait 4 chansons ou 5 peut-être, et pour une fois, je n’ai pas compté le temps qui passait. Mais bon, on va pas se mentir, on est venu pour Bénabar alors c’est lui qu’on veut voir.

Petite entracte après la 1ère partie, pas longue je pense, à peine 15 min.

Les musiciens rentrent sur scène. Ca commence à jouer et vlà Monsieur Bénabar. Faisons donc un point vestimentaire comme j’ai l’habitude de le faire dans ses revues de concert, la sobriété est de mise ce qui colle bien à l’esprit du concert. Un costume noir (enfin une veste et un slim) sur un tee-shirt gris (avec une veste qu’il n’arrive plus à fermer mais ça c’est une autre histoire). Bien l’bonsoir m’sieurs dames. Si un jour, il arrête de le dire, je vais être perdue. La setlist, plutôt conséquente, que je n’ai, bien sûr, pas dans l’ordre (et aucun moyen de me souvenir lesquelles il a mis en rappels) :

La phrase qu’on a pas dite
L’effet papillon (déjà envie de me lever mais on va dire que je me suis retenue)
Dis-lui oui(toujours envie de me lever… je me tortille dans mon fauteuil)
Les numéros
Moins vite
La p’tite monnaie (Oh joie, félicité, tout ce que vous voulez, je la veux à CHAQUE concert)
Triste compagne (ravie de l’entendre en concert)
Les rateaux
Titus et Bérénice (j’aime bien cette chanson mais en vrai, j’ai préféré le solo de Bénabar que le duo originel avec Amylie)
Lorsqu’elles nous adressent (alors celle-là, une inédite, surement celle que je préfère avec un très joli texte et chantée qu’en piano-voix, c’est formidable)
Le Vélo
Maritie et Gilbert Carpentier
Quatre murs et un toit
Le coup du lapin (j’aime beaucoup le petit changement de parole, à l’origine « Elle est un peu mannequin Un peu actrice un peu serveuse » remplacée par « Elle est un peu mannequin Un peu actrice un peu blogueuse »)
Perdre la raison (plus sympa en concert qu’en studio je trouve)
Porcelaine (AH ! Pas entendue sur scène depuis mon concert en 2006 je crois, ENFIN j’ai envie de dire)
Le Diner (Evidemment, l’impression que le Diner est devenu l’hymne des concerts de Bénabar, pourquoi pas hein)
Majorette (Une autre que je n’avais pas eu depuis 2006. Une de mes préférées. Une orchestration formidable. Je vais pas m’en remettre)
Paris by night (une inédite, que j’aime beaucoup avec une ambiance festive comme on les aime)
Les 2 chiens (une autre inédite, du pur bénabar)
Les épices du souk du Caire
L’agneau
A la campagne (qui bouge tellement plus en concert que dans la version studio)
Je suis de celles
Les mirabelles
Les mots d’amour

J’avais peur pour l’ambiance. Finalement, ça a été. Un peu de frustration au début. Mais vite mise au placard parce que bon, ça va bien 5 minutes mais si je veux me lever, je vais pas me gêner. Alors bon, faut avouer qu’avec Akikazu, on a parfois été le déclencheur dans notre partie de la tribune pour faire lever les gens parce que s’ils voulaient continuer à voir, il fallait bien qu’ils se lèvent eux aussi 😀 En fait, les gens étaient quand même plus aptes à se lever sur des chansons « récentes ». Mais bon.

Ça délire toujours autant avec les musiciens. Ca part dans tous les sens. Le Martin qui se laisse emporter avec sa trompette (ma foi il a raison, c’était pas désagréable), on retrouve avec plaisir l’accordéon ou le saxo de Denis (j’aurais bien voulu entendre l’accordéon sur Majorette mais cette ‘nouvelle’ version me plait bien aussi comme ça), la basse ou la contrebasse de Florent, la guitare ou le banjo de Xavier et Fabien à la batterie (qui donne envie de savoir jouer de la batterie si si) qui se défend rudement bien au sifflement.

Je suis joie. J’en veux encore. Je veux le nouvel album. Je veux Lorsqu’elles nous adressent en single, en mp3, en ce que vous voulez. Bref. Encore.

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Publié le 14 avril 2013, par dans Cinéma.

Oblivion

Oblivion. Quand j’ai vu le 1er teaser, je crois que je me suis tout de suite que je voulais le voir. Puis, j’ai fini par l’oublier et c’est en voyant une bande-annonce (ou un bout de bande-annonce, je me rappelle plus) que je me suis dit qu’il FALLAIT que j’y aille. Il est donc sorti mercredi et en ce samedi, c’est chose faite.

Je sais pas pourquoi, je m’attendais à un truc génial. Peut-être que j’en attendais trop de ce film, je sais pas trop. Mais bon, bref, je vous fais le pitch : Nous sommes en 2077, la Terre a connu une guerre magistrale qui a débuté avec la destruction de la Lune, les armes nucléaires ont été utilisées, la Terre a gagné la guerre mais la planète est restée dévastée. De ce fait, l’humanité a quitté la Terre pour aller sur Titan, un satellite de Saturne. On apprend donc que ce sont les « Scavs » (Chacals en français) qui sont à l’origine de tout ça. Depuis, la Terre ne sert plus qu’à fournir les ressources vitales aux humains partis pour Titan. Pour ça, il y a des stations de pompage d’eau de mer surveillés et protégés par des drônes car les Scavs sont toujours présents. Jack Harper (Tom Cruise) et Victoria (Andrea Riseborough) sont sur Terre dans une station avec pour mission de surveiller la Terre et de réparer les drônes. Un jour, ils sont témoins du crash d’un objet non identifié et c’est là que tout va changer…

Je vous ai passé le détail de certaines choses car c’est à vous de le découvrir dans le film car sinon, vous allez pouvoir en déduire bien trop de choses. Le film en lui-même, je l’ai quand même trouvé pas mal. Il en met plein la vue car visuellement, il est plutôt réussi. Et on passe quand même un bon moment. Malgré tout, je suis restée sur ma faim. Parce que je pouvais presque tout déduire du film. Pas vraiment de surprise en somme.

Je sais pas trop comment vous parler de ce film en fait. Parce que je suis vraiment mitigée. C’était bien et pas bien en même temps. J’ai les deux sensations qui se mélangent. Le film met trop de temps à démarrer aussi parce que je me suis rendue compte qu’à un moment, je me suis demandée quelle heure il était pour savoir où on en était dans le film et si ça allait vraiment démarrer.

A côté de ça, j’ai adoré la bande originale du film et j’ai compris pourquoi quand j’ai vu que pour la majorité c’était de M83 en gros (Anthony Gonzalez de M83 donc et Joseph Trapanese).

Bref. Je sais pas trop quoi vous dire de plus. Je suis restée sur ma faim à la fin parce que je trouve que ça laisse un peu trop de questions en suspens et j’avoue que j’aurais aimé avoir la réponse à ses questions.

Mais bon, il se laisse regarder. J’ai quand même passé un moment sympa au ciné. Après, je sais pas s’il fera parti de mes films « favoris »…

PS : je crois que je vais un peu trop souvent au ciné moi en ce moment, je vous parle plus que de ça 😀

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