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Publié le 9 août 2010, par dans Jeux Vidéos & Actus.

Voodoo Dice Xbox 360 Ok alors, aujourd’hui, je vous présente le jeu Voodoo Dice. C’est un jeu que vous pouvez télécharger sur le Xbox Live pour 800 points si je dis pas de connerie.

Moi évidemment, c’est le genre de jeu que j’aime car c’est une sorte de puzzle-game complètement tordu (en fait, il est pas tordu du tout, il est juste extrêmement logique – vous allez comprendre par la suite pourquoi je dis ça).

Quoiqu’il en soit quand j’y joue trop longtemps, j’ai juste envie de me taper le crâne contre un mur tellement j’ai réfléchi (oui parce que je suis lente alors le temps que je visualise ce que je dois faire bah, je perds du temps tout ça, et je prends toujours pas d’automatisme…)… Bref, autant que je vous fasse le test du jeu parce que sinon vous n’allez jamais comprendre de quoi je parle.

Musique

Comment vous dire… Disons que la musique n’est pas quelque chose à laquelle j’attache une importance dans ce jeu. Globalement, elle reflète bien l’univers du jeu et accessoirement sait très facilement se faire oublier quand il s’agit de réfléchir. En tout cas, moi, elle ne m’a pas tapé sur le système et c’est un excellent point. Car qui n’a pas joué à un puzzle-game où il a juste envie de faire mute tellement la musique finit par être saoulante ?

Graphisme

Et bah moi je trouve ça plutôt joli. Non mais c’est vrai quoi. Faut dire, que c’est plutôt extrêmement simple comme concept. Vous êtes un dé, et vous évoluez sur un plateau (plateau qui prend des allures plus ou moins farfelues). Le tout me semble plutôt bien modélisé, les effets sont sympathiques. Bref, pour un XBLA, moi je suis preneuse. C’est propre, coloré, bref. Nickel.

Jouabilité

Ultra ultra simple. Le joystick sert à faire avancer le dé. Voilà. Il n’y a rien d’autre à faire. Après, il suffit de faire aller les méninges pour savoir comment faire pour obtenir telle face à tel moment.
C’est là que ça se complique. Parce que faire rouler le dé, ça nous va bien ça. Mais réussir à faire venir telle face du dé à tel endroit. Nyééééh. Greffez- moi un cerveau car j’ai vraiment vraiment vraiment du mal à anticiper ce genre de truc. Mais du coup, c’est drôle quand même.

Scénario

Bin y en a pas. Vous avez juste à explorer des niveaux et résoudre les énigmes. Hé ! c’t’un puzzle-game hein, vous avez pas besoin d’un scénario pour ça.

Durée de vie

Allez savoir. Pour le moment, j’ai fini le 1er monde et entamé le 2ème. Et ça se complique de plus en plus. Et vu comment je finis par m’énerver parce que j’y arrive pas, j’aurai tendance à vous dire que j’en ai pour des heures et des heures de jeu. Car même si vous adorez vous activer les méninges, c’est pas le genre de trucs qu’on fait pendant 5h d’affilée mais plutôt le genre de jeu auquel on joue avec parcimonie.

Malgré tout, il est à noter l’existence d’un mode multijoueur qui pourrait vous donner des parties de franche rigolade. J’ai essayé à deux, et déjà là, on se marrait. J’ose même pas imaginer le bordel en jouant à 4 car il y a certains modes où ça doit vraiment être le bordel.

Conclusion

Voodoo Dice est un jeu de réflexion présentant un réel univers. Cela change des basiques puzzle-game avec les symboles à aligner. Et on est clairement plus dans la réflexion que le pur puzzle-game en fait (me demandez donc pas pourquoi depuis le début, je m’emploie à utiliser le terme puzzle-game). J’ai des gros moments de bug face à l’écran pour réussir à comprendre comment je peux faire arriver telle face à tel moment mais c’est ça qui est drôle. Réfléchir. D’habitude, au bout d’un moment, je finis toujours par tout faire par automatisme. Là, finalement, je suis toujours obligée d’activer les neurones car sans ça, mon dé n’arrive jamais comme il faut.
Bref, autant le dire, j’adore.

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Publié le 5 juillet 2010, par dans Beauté, Blabla, Réflexions.

Bon en fait, cet article va être un gros n’importe quoi. Un gros WTF parce qu’en fait, je me rends compte que j’hallucine de plus en plus.

Pour vous dire, je ne sais même pas par quoi commencer…

En fait, avec Beauty by poc, je suis entrée dans une nouvelle sphère, la sphère beauté. Et honnêtement, la sphère beauté dans la blogo c’est plutôt amusant. Enfin amusant, y a à boire et à manger quoi.

Et comme dans toutes les sphères de la blogo, il y a différentes pratiques qu’on voit fleurir qui me font mourir de rire. Ou plutôt non, qui me font m’interroger. Parce que j’hallucine. Parce qu’il y a des gens qui doivent croire que les AP sont des nouveaux pères noël. Parce qu’il y a des gens qui ont l’air de croire qu’avec un blog, on peut tout demander. Parce qu’il y a des gens qui ont l’air de penser qu’on ne va rien leur refuser.

Et que du coup, ça sera sans conséquence pour eux. Bah je suis navrée, mais pour moi, il y aura une conséquence : comment passer pour un mort de soif en un mail.

Déjà que d’une manière générale, une majorité de personne pense que les blogs de fille ce sont que des blogs de putasse, c’est pas avec des comportements pareils qu’on va réussir à faire dire le contraire aux gens…

Et après y a ça aussi, les nanas qui te mailent juste pour avoir un contact. Tu peux crever la gueule ouverte, c’est pas leur problème mais dès que t’as un contact presse qu’elles n’ont pas, vous pouvez être sûr de la voir rappliquer en premier. Si si. Je vous jure.

Ensuite, vous avez aussi celles qui pensent que dès qu’on ouvre un blog, les portes des agences s’ouvrent systématiquement. Je vous raconte pas le nombre de mails reçus demandant en gros « dis madame, comment on fait pour ouvrir un blog et avoir des produits gratuits ? ». Ouais, texto, comme ça.

Et après, je vous parle même pas de celles qui sont totalement hypocrites, soit dans le sens « je suis sympa mais en fait j’en ai rien à foutre de toi » ou soit dans le sens « han j’t’aime de trop mais ce sont tes contacts qui m’intéressent en réalité ».

Et je vous parle même pas de celles qui ont un blog beauté et qui n’y connaissent rien. Genre, et vas-y que je te montre mon make-up du jour fait à la truelle mais que des gens trouvent trop beau quand même (oui, même quand on a un blog de merde, on a quand même des gens qui viennent nous lécher en comm, incroyable, non?). Ou encore, celles qui copient/collent/paraphrasent les DP/CP. Finalement, elles, elles pourraient vous vendre du PQ que ça reviendrait au même.

Ah mais sinon, je vous rassure hein, dans le lot, il y a quand même des gens normaux. Sans déconner. C’est rare, mais on les trouve.

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Publié le 24 juin 2010, par dans Jeux Vidéos & Actus.

Heavy Rain PS3Et oui, aujourd’hui, on inaugure. Un petit test sur PS3 !

Non, je n’ai pas de PS3 mais Monsieur Phaedren de Lvlup.fr s’est fendu d’un petit test pour moi. Il a été gentil comme tout car il a suivi exactement ma façon de procéder habituelle. J’imagine que ça a du le frustrer légèrement de ne pas avoir pu aller plus en profondeur comme il le fait habituellement pour Lvlup.fr.

Mais que voulez-vous, nous ne sommes pas sur un blog purement de jeux vidéos, du coup, j’essaye toujours de faire en sorte de vous parler de jeux vidéos tout en restant légère. Sinon, vous iriez directement voir les sites spécialisés pour avoir plus de détails !

Mais malgré tout, vous allez avoir droit quand même à un test un peu plus fouillé que je ne le fais ! Je laisse donc la parole à Phaedren 🙂

Musique

La musique dans Heavy rain est une musique pas d’ambiance mais de soutenance , elle change en fonction de l’action et soutient vraiment bien les moments de stress comme les moments de bonheur…
De bonne facture elle est principalement symphonique, parfois on la remarque à peine mais elle est suffisamment présente pour ne pas saouler mais elle est toujours bien posée sur les évènements.

Les bruitages comme le souffle court d’Ethan, mais aussi lors de ses absences et les bruits blancs donnent beaucoup de force aux scènes de stress.
On n’oublie pas la pluie qui en tant qu’acteur principal, est une musique omniprésente qui donne une musicalité spéciale au jeu

Graphisme

HR oscille entre le très beau et parfois le moins bon, les décors sont vraiment travaillés, les effets de pluie et lumières sont vraiment sympa. Par contre la volonté d’avoir des perso hyper réalistes est parfois cassée par des textures trop lisses et luisantes… Dommage, globalement de très bonne facture, on voit parfois des bugs d’affichage, genre des perso qui font pas le bon mouvement ou autres, mais c’est rare !

Jouabilité

Elle est hyper particulière, basé sur des QTE elle demande souvent au joueur d’être réactif, parfois aussi on doit maintenir plusieurs bouton en même temps pour simuler l’inconfort de la situation que vit le personnage. Utilisant aussi le Sixaxis… Globalement la manière de jouer se veut reproduire les mouvements qu’on ferait naturellement. Pas forcement évident, il faut un temps d’adaptation, et parfois on ne sait pas quel picto correspond à quelle action… Globalement il faut un petit moment pour s’y mettre mais quand on est dans le jeu c’est pas mal.

Par contre le déplacement du perso me fait penser à Resident Evil 1 (il est en fonction des caméra) et ça casse souvent la fluidité de jeu. Les persos réagissent pas comme on le voudrait genre on ne peut pas courir a volonté… On a un nombre d’interaction limité et c’est frustrant car on voudrait faire bien plus !

Scénario

L’origami killer est un sérial killer aux méthodes reconnaissables, on incarne tour à tour 4 personnages qui feront avancer l’intrigue en fonction des choix que l’on va faire dans le jeu. En premier : Ethan, un architecte dont la famille a été touchée par un drame, leur fils ainé s’est fait écrasé devant leur yeux… Homme divorcé et ayant des absences, il est le vecteur de l’histoire : son deuxième fils a été enlevé par le tueur aux origami et il se demande s’il n’est pas le tueur. Jayden est un officier du FBI accro à la drogue et équipé d’un matos technologique digne de Matrix, Scott Shelby un vieux détective engagé par les victimes du tueur et Madison une photographe… Chacun d’entre fera avancer l’enquête par des points de vue différents tout en se croisant, ils subiront des épreuves pour déterminer jusqu’où ils sont prêt à aller pour ceux qu’ils aiment..

Durée de vie

Heavy Rain se finit en 7 à 8 heures, et peut être recommencé pour voir les embranchements possibles sachant qu’il y a plusieurs fins différentes. Cependant on voit assez vite les choix déterminants pour l’histoire ou non. Sachant qu’il s’agit plus de story telling la rejouabilité n’est pas grande, surtout quand on connait déjà l’histoire

Conclusion

Heavy rain est une expérience vidéoludique, pas tout à fait un jeu, pas tout à fait un film. Heavy rain tente de se détacher de l’interface classique du jeu, pour y revenir à grand pas tout d’un coup coupant par la même notre suspension of disbelieve… Par exemple quand on commence à vivre la souffrance d’Ethan, Jayden sort son attirail holographique de fou qui nous coupe complétement de la plongée dans les sentiments que souhaite QuanticDream. Etrange et parfois malvenu, Heavy rain casse les codes pour mieux nous ressortir des clichés : comme Shelby véritable caricature du détective par exemple…
En voulant innover, Heavy rain ose parfois trop en nous demandant d’apprécier des moments de rien où Ethan joue avec son fils, puis nous ressert du clichés bon marché d’hollywood.

Heavy rain navigue entre deux eaux, mais la tentative est à saluer… Clairement c’est un jeu qui demande beaucoup d’effort au joueur, et qui prend le pari de toucher des strates de sentiments plus complexes que les sentiments primaires sollicités généralement dans le JV. Commettant l’erreur de croire qu’on a tous le même vécu et la même approche sentimentale (comment apprécier un moment où on berce un enfant si on l’a pas fait soi-même ?), et n’arrêtant pas de nous plonger dans notre moi intérieur, puis de nous en ressortir avec des passages clairement gameplay de jeu vidéo, Heavy rain vous demandera sans cesse de vous replonger dans son univers : si vous y arrivez, vous rentrerez dans une oeuvre touchante et innovante qui a le mérite d’explorer un pan autre du JV. Si vous n’arrivez pas à faire cette gymnastique complexe, vous trouverez le jeu assez fade, limité et parfois ennuyeux.

Et on dit merci à Monsieur Phaedren !

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Publié le 23 juin 2010, par dans Musique.

J’avais été invitée à un concert découverte du groupe 1973, malheureusement, je ne pouvais pas être disponible à cette date. Par chance, on m’a donc proposée de recevoir le CD du groupe chez moi pour pouvoir l’écouter et le découvrir tranquillement.

Et j’ai découvert. Et maintenant limite je regrette de pas avoir pu être présente pour le concert. En fait, je suis presque étonnée que ce soit un groupe français (comment ça j’ai des a priori sur les groupes français, je vois pas ce que vous voulez dire !!).

C’est frais, c’est mélodieux, le genre de musique sur laquelle on se laisse volontiers porter.

Je vous laisse en tête à tête avec Bye Bye Cellphone 🙂

Merci BuzzParadise pour cette agréable découverte 🙂

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Publié le 17 juin 2010, par dans Jeux Vidéos & Actus.

Je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas moi qui ai testé le jeu. C’est l’homme, évidemment. Moi j’étais juste à côté de lui à regarder.

Alors comment dire, Alan Wake pourrait se définir comme un jeu d’aventure et d’action. En fait, vous avez un scénario qui vous emmène à divers endroits (le côté aventure ça :p) et entre temps vous rencontrez des vilains qu’il faut taper (le côté action :p).

Je vous le dis tout de suite, même si j’avais voulu, j’aurais pas pu y jouer. Parce que quiche comme je suis, j’ai à moitié peur devant le jeu. Oui bin… Tout le monde ne peut pas être parfait hein. Mais au moins, ça prouve qu’on s’immerge facilement dans le jeu, non ? 🙂

Musique

Très très sympathique. Si si je vous jure. Les musiques d’ambiance sont très sympas et les chansons choisies, c’est du bonheur. Je n’ai pas pu m’empêcher de réfréner un sourire quand j’ai entendu Ground control to Major Tom à la fin du jeu ^^ Bref, une réussite.

Graphisme

Très sympa aussi. Les décors sont réussis, les effets sont vraiment pas mal. Franchement, moi, ça me plaît. Les perso auraient pu être un poil plus fins mais ça c’est purement du détail (en fait, par moment, je les trouve un peu… statique et mono-expressif les personnages ^^). Oh pis les effets où on a l’impression que la brume se lève (parce qu’en fait y a des gros vilains tout ça qui arrivent), je les trouve vraiment bien fait. Tout comme le feu, les lumières tout ça :p

Jouabilité

Très simple. Faut pas être sorti de Saint Cyr pour capter le truc. Bon par contre ça vise comme une merde (enfin je trouve). Mais finalement, on arrive à passer outre. Y a des petits mouvements plutôt sympa comme l’esquive (qui permet genre d’esquiver un objet qu’on vous balance dessus).

Scénario

Bin j’ai rien compris. Enfin, Wake est en vacances avec sa femme dans une petite bourgade pour se reposer. Même que sa femme lui donne une machine à écrire pour qu’il se mette à son nouveau roman alors que lui il veut pas (aaah les femmes…). Tout va bien sauf que sa femme disparaît dès la première nuit. Et nous voilà en train de retourner toute la région pour retrouver Alice et comprendre ce qui lui est arrivé. Et bah moi, j’ai pas compris. Mais en tout cas, on rentre quand même bien dans l’histoire. On suit les interrogations de Wake et du coup on se les pose également et on a envie de savoir ce qu’il se passe.

Durée de vie

Bof bof hein. On grosse dizaine d’heures de jeu je dirais. L’homme l’a en gros fini en 1 semaine en y jouant que le soir et pas toute la soirée. Du coup, on a pas le temps de s’ennuyer me direz-vous ou de se lasser d’une histoire qui n’en finit pas 🙂

Conclusion

Globalement, Alan Wake est une réussite. C’est sûr qu’au niveau des actions en elle-même, il n’y a pas de quoi casser 3 pattes à un canard mais pour l’ambiance, le scénario, les décors, ça vaut le coup.

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