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Publié le 3 septembre 2013, par dans Réflexions.

Je crois que je vais continuer ce que j’ai commencé. Franchement, je me dis que je suis bien partie alors ce serait dommage d’arrêter en si bon chemin. Bon après, vous allez me dire que vous en avez rien à foutre parce qu’on se connait pas (ou tout du moins, certain(e)s qui me lisent ne me connaissent pas) et ceux qui me connaissent, ça va les faire sourire ou alors leur confirmer que je suis définitivement atteinte.

Donc. L’autre jour, je vous parlais de ma névrose de l’engagement. Aujourd’hui je vais vous parler de celle du toucher. Qui doit dériver légèrement d’un genre de phobie sociale (que j’ai « soigné » – enfin c’était pas une vraie phobie sociale non plus dans le sens strictement pathologique du terme, je vous rassure). J’explique, j’ai jamais été une fanatique des rencontres de gens, je suis plutôt du genre asocial en règle générale, je suis pas super bavarde à la première rencontre, etc. Mais, quand j’ai ouvert mon blog beauté, il a fallu que je prenne sur moi parce que des nouvelles rencontres j’en ai fait et j’ai du prendre sur moi pendant ces événements. Mais au moins, je suis devenue sortable (genre) et bien moins sauvage. Néanmoins, il subsiste un truc : j’ai du mal avec les gens que je connais peu/pas qui rentrent dans mon espace et se permettent même de me toucher.

Et quand je dis toucher… C’est des trucs tout cons. Me toucher le bras pour me faire la bise, me toucher la main pour attirer mon attention pour me dire quelque chose, me prendre le bras pour m’emmener quelque part, et j’en passe et des meilleures. Des choses complètement anodines pour beaucoup de monde. Mais des choses qui me dérangent au début. A une époque, je me dégageais systématiquement des gens qui faisaient ça. Aujourd’hui, j’apprends à le gérer, je deviens pas à moitié hystérique mais… ce sont des choses qui me marquent. Et pareillement, je mets un certain temps à être proche physiquement des gens, tant que je ne les connais pas à un certain point, je ne peux pas non plus les toucher parce que ça me dérange.

Ça doit vous paraitre complètement tordu je pense. Et cette névrose peut facilement se lier à celle de l’engagement. Parce que finalement, ça peut faire partie des choses qui font que j’ai du mal à m’engager, parce qu’effectivement, l’engagement passe quand même par une certaine proximité physique dans un premier temps (non mais les gens tout de suite, je vous vois venir, je parle pas d’actes sexuels hein !). Et ce blocage que j’ai sur le toucher fait que j’ai l’air terriblement distante. Alors c’est pas que je veux pas, c’est juste que… je peux pas.

Je n’ose peut-être pas. J’ai peut-être peur de quelque chose mais alors là, je ne vois pas de quoi je peux avoir peur. Enfin je veux dire je vais pas perdre la main à toucher quelqu’un. Enfin, vous voyez ce que je veux dire. J’ai pas de phobie particulière avec les microbes donc c’est même pas ça. Je cherche, je cherche vraiment à quoi ça peut être dû. Et j’ai beau tourner le truc dans tous les sens, je sais pas pourquoi je suis comme ça. Et il y a forcément un truc parce que quand j’étais ado, j’étais loin d’être comme ça 😀 Et d’ailleurs aujourd’hui, les seuls qui peuvent se permettre d’être proche de moi physiquement et avec qui j’ai pas de problème pour l’être sont des personnes de cette époque (et de ce fait, les gens qui m’ont connu qu’avec cette névrose s’imaginent des trucs parce que comme ils ne m’ont jamais vu aussi proche physiquement de quelqu’un ça les perturbe…). Les personnes que j’ai rencontré après, ça prend du temps. Ça s’efface, je suis de plus en plus à l’aise avec certaines mais… ça prend du temps.

Encore une fois, serait-ce parce que je me protège ? C’est-à-dire que le fait de tenir à distance les gens même physiquement m’évitera d’être atteinte ? Si c’est ça, c’est quand même complètement idiot. Parce que je peux pas passer ma vie ériger des murs entre moi et les autres. Ou alors je peux définitivement aller me faire bonne soeur et au moins ça serait réglé. Et comme je sais pas d’où ça vient, je tourne ça en rond dans la tête, et je trouve pas de solution. A part laisser les gens faire, essayer de passer outre, de gérer la chose en interne. C’est pas encore vraiment au point mon truc. Je pense que des gens ont pu s’en rendre compte que j’étais pas du genre « tactile » mais bon. Mais j’essaye de me soigner. J’essaye de devenir justement un peu plus « tactile » (ouais enfin… vous imaginez pas des trucs non plus… je vous vois venir), à la longue, ça finira par devenir naturel (oui en fait, je suis en train de m’entrainer à modifier mon comportement pour qu’il devienne acquis…).

Et puis le pire pour les gens, c’est qu’ils peuvent même pas savoir à partir de quel moment ils peuvent devenir plus proches physiquement. C’est un truc que je ne peux absolument pas prévoir. Et de ce côté-là, y a aussi le feeling avec les gens qui entrent en compte…

Bref. C’est quand même moins chiant que d’avoir peur de l’engagement. Encore que ça peut se valoir, non ?

PS : Je crois que ça doit être l’article le plus chiant que j’ai pu rédiger.

 

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Publié le 29 août 2013, par dans Réflexions.

Il n’y a pas si longtemps que ça, je vous disais que j’étais bourrée de névrose. Enfin des névroses… Un bien grand mot pour juste parler de blocage tout con ou de phobie. Parce que quand même, on en est quand même pas au point où ça en devient pathologique (enfin je crois pas… Encore que… Le prochain article, je vous parle d’une autre de mes névroses « importantes »…).

Quoiqu’il en soit, comme les mecs ou plutôt comme la plupart des mecs (les mecs qui me lisent vous allez pas me dire le contraire, faut arrêter de déconner), j’ai un vrai problème avec la notion d’engagement. Je sais même pas expliquer pourquoi, ou tout de moins, je n’ai jamais suffisamment creusé pour comprendre le pourquoi du comment…

Mais une chose est sûre. L’engagement, ça me fait flipper. Mais vraiment. Même si ça reste intérieur. Quand je commence à voir quelqu’un, je vais pas me mettre à fuir ventre à terre mais, disons, que je ne vais pas forcément m’investir tout de suite dans quelque chose. Je vais rester… assez distante que ce soit au niveau des gestes ou des paroles. Ce qui peut, peut-être, être assez destabilisant pour la personne en face parce qu’il va surement dire que j’en ai rien à foutre. Ce qui n’est pas nécessairement vrai parce que je suis quand même capable de faire des efforts (bon pour faire court et pour vous donner une idée du prochain article névrose c’est le fait que je n’aime pas être touchée ou toucher des gens que je connais depuis « peu » de temps et ça me demande quand même quelques efforts pour accepter que quelqu’un me touche, me frôle quand je viens de le rencontrer).

Bref cela étant, quand je commence « quelque chose » avec quelqu’un, avec cette névrose, ça me coûte tellement de dire aux gens : oui, je vois quelqu’un, oui, je suis en couple. Parce que cette notion d’être en couple, je sais pas pourquoi, ça me fait paniquer. Parce que c’est vrai que j’aime beaucoup le fait d’être toute seule au final,  parce que c’est vrai que l’idée de reformer un couple avec quelqu’un me dérange ou tout du moins, me fait peur. Parce que surement d’une certaine manière, j’ai l’impression que je vais perdre de mon « indépendance ». Parce que j’ai aussi l’impression que je vais avoir des comptes à rendre à quelqu’un. Et parce que finalement, je ne serai plus toute seule à décider dans quelle merde je suis en train de tourner ma vie.

Je vais avoir besoin de me justifier. De justifier mes choix de vie. Et je n’en ai pas envie. Ok. D’une manière générale, j’aime assez l’idée d’avoir quelqu’un mais… Quelque chose m’empêche d’apprécier pleinement l’idée. Et pourtant. J’ai quand même vécu une relation de 7 ans et demi. Mais JAMAIS pendant ces 7 ans et demi, je me suis dit que je voulais me marier ou être fiancée (ou encore quand j’y pensais, c’était juste pour être dans la norme et qu’on arrête de me/nous poser la question). Pourquoi ? PARCE QUE ÇA M’ANGOISSE PROFONDÉMENT. Parce que si finalement, je n’en ai jamais parlé, c’est parce que j’étais la dernière à en avoir envie. Parce que lier ma vie à quelqu’un pour la vie, je trouve ça juste complètement fou. Parce que j’aurais l’impression de m’aliéner à quelque chose auquel je ne crois peut-être pas (ou plus – et pourtant, j’ai un fond un « peu » fleur bleue alors…). Et qu’au final, je me dis souvent que toute bonne chose a une fin…

C’est peut-être triste à mon âge de penser de la sorte alors que je ne suis finalement pas si vieille que ça. Peut-être aussi que cette norme de se mettre en couple pour « la vie » avec quelqu’un, n’est pas une norme qui me correspond. Je sais pas. Je sais juste que je suis une flippette de l’engagement. Je sais que je ferai pas tout pour saborder une relation parce que quand même, je suis névrosée mais pas à ce point là. Mes coups de flippes, je les gère, en interne, mais je les gère. Peut-être que je me protège. C’est surement parce que je me protège d’ailleurs. Et c’est aussi surement pour ça que je cherche pas tellement à savoir d’où me vient ce problème avec la notion d’engagement. Je trouve ça très beau les gens qui se marient et tout. J’ai rien contre, les gens qui ont pas de problème avec l’engagement grand bien leur fasse mais moi… Je sais pas. Ça m’angoisse. C’est irrationnel. J’ai pas d’explication. J’ai des pistes. Sans plus.

Tout ce que je sais, c’est que mon futur mec, je le plains. Parce que je suis pas un cadeau. Je suis pas contrariante mais putain, j’ai des bagages (psy).

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Publié le 7 août 2013, par dans Cinéma.

Insaisissables (Now You See Me)

Quand j’ai vu la bande-annonce une fois, deux fois puis trois fois, à chaque fois, je me suis dit qu’il FALLAIT que j’aille le voir. Oui « fallait ». Parce que je sais pas, je crois que je devais sentir que le film allait m’emballer. Quand Akikazu m’a dit : « ciné mardi ? », je crois que le premier truc que j’ai dit c’est : ouais, Insaisissables. Elle a même pas eu le temps de proposer quelque chose que j’imposais déjà mon choix. Du pwnage en règle en somme.

Pour vous faire le pitch… Quatre personnages (The Four Horsemen), quatre magiciens en somme (même s’il y en a un qui est plus « mentaliste » que magicien) se réunissent pour faire des spectacles de magie juste hallucinant. Mais ce ne sont pas juste des spectacles de magie, en somme, ce sont des « braquages ». Evidemment, le FBI et Interpol s’en mêlent pour les arrêter et semblent bien déterminer à faire cesser ce manège (autant le dire, les Four Horsemen se jouent d’eux fantastiquement bien). Pour ce faire, ils font appel à Thaddeus, un spécialiste dans le démantèlement des tours de magie. Et pendant tout le film, on suit donc ce petit jeu de chat et de la souris et on se demande bien s’ils vont se faire prendre un jour.

Très difficile de vous faire le pitch sans trop vous en dire. Parce que tout réside dans la surprise du truc en fait. Ce que je peux vous dire c’est que le film avait pas commencé depuis 5 min qu’avec Aki on était déjà acquises par un truc complètement con mais qui a parfaitement bien fonctionné sur nous.

Et pour tout le reste… Pas de temps mort, pas d’essoufflement. On en prend plein les yeux et on se laisse prendre au jeu de la magie. Les acteurs font un très bon boulot (dans le genre, je tiens à dire que Jesse Eisenberg me plaît vraiment de plus en plus dans ce type de rôle). Le seul bémol est pour Mélanie Laurent, je l’aime bien comme actrice (encore que ça dépend des moments) mais là, je l’ai trouvé… Un peu fade par rapport au reste du casting. A contrario Isla Fisher qui a tendance à m’énerver plutôt bien m’a bien plu dans le film.

Cette course-poursuite entre eux et le FBI/Interpol, le fait qu’on essaye de comprendre les tricks des tours avant qu’on nous les explique donnent un ensemble très divertissant. Un genre d’Ocean’s Eleven en fait mais dans le domaine de la magie. J’ai trouvé quand même la fin un petit peu bâclée, comme une sensation de pas assez d’explication mais qui laisse une belle porte pour une éventuelle suite (et j’avoue que pour le coup, je ne dis pas non).

Bref. A la sortie de la séance, je n’avais qu’une chose à dire : « c’était trop bien ».

Si vous voulez passer un bon moment, sans prise de tête, avec des moments drôles et d’autres qui vous en mettent quand même un peu plein les yeux… N’hésitez pas.

PS : Heureusement que je suis pas critique cinema, parce que cet article est vraiment moche.

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Publié le 30 juillet 2013, par dans Réflexions.

Allez, ça faisait combien de temps que je n’étais pas venue écrire des conneries ici ? Un paquet de temps. J’ai eu des moments où j’avais envie de développer certains sujets. Puis finalement, j’avortais toujours l’article parce que je n’arrivais pas à un développement satisfaisant (à mon sens). Aujourd’hui, je ne suis pas plus avancée dans ces ébauches d’articles qui trainent dans mes brouillons, mais c’est juste que je suis revenue à ma douce période d’insomnies. C’est pas que ça me manquait, loin de là… On dit souvent que les périodes d’insomnies ont des raisons mais dans mon cas, je n’ai jamais réussi à trouver quel était le facteur commun. Mon médecin avait suspecté de l’anxiété. Et j’ai donc eu des anxiolytiques. Qui ne m’ont pas plu. Et qui en plus de ne pas me plaire, n’ont pas fonctionné. Depuis, je ne parle plus tellement de mes insomnies à mon médecin…

Quoiqu’il en soit, quand il fait nuit et qu’on ne dort pas, ça fait tout plein de temps pour venir développer des théories foireuses sortant tout droit de mon cerveau tordu. Je pourrais vous mettre l’ébauche de ma réflexion sur le fait que les gens peuvent changer (ou alors devenir eux-même), je pourrais aussi vous réécrire la version 2013 de ce que je peux bien penser de l’amour comme je l’avais fait il y a quelques années (mais en fait, c’est quand même sacrément chiant à écrire et pourtant j’en aurais des trucs à dire parce que bon… ma pensée a… mûri on va dire :)), je pourrais aussi vous parler de moi (mais ça fait quand même sacrément égocentrique – même si c’est mon blog)…

Je sais pas de quoi vous parler. Je vais surement finir par parler de moi de toute façon. Quel meilleur sujet d’observation que soi-même ? (oui je sais, l’introspection, c’est pas fiable mais en même temps, je suis quand même la mieux placée pour savoir parler de moi, non ?) Remarquez, vous vous en foutez peut-être aussi…

Cela dit, pour faire court, parce que finalement, vous êtes toujours plus ou moins au courant (dans les TRES grandes lignes) de ce qui se passe dans ma vie. Un passage à vide. Une lente remontée. Et nous voilà aujourd’hui. Une page totalement tournée. Une libération. Un apaisement. Je suis mieux. Je vais bien. Des choses ont été réglées (avec moi-même), des névroses se sont atténuées. Bon après, je reste surement quelqu’un de complexe, mes conceptions de certaines choses n’ont pas changé, mais ma façon de les appréhender s’est simplifiée. Je crois que ce que je vous dis là est tout sauf clair mais dans ma tête, ça l’est 🙂

Je pourrais aussi vous faire une liste de mes névroses. Mais ça ne serait pas tellement drôle pour vous (et pour ceux qui me connaissent ça serait du radotage). Peut-être qu’un jour je viendrai vous embêter avec mes névroses pour vous les développer une à une et que vous constatiez l’ampleur des dégâts (et je vous autoriserai à dire que je suis complètement timbrée). Je crois que c’est pas la première fois que je le dis. Et je crois même que j’avais déjà commencé à écrire là-dessus dans cette « rubrique » Réflexions.

Après, peut-être que vous pouvez vous posez la question du pourquoi du comment de cette « rubrique ». C’est simple. C’est un de mes fonctionnements bizarres. Parfois (souvent), j’ai besoin de poser les choses par écrit, pour mieux les appréhender. Ma pensée peut parfois aller tellement vite que de la poser sur le papier (en l’occurrence sur le blog :D) peut m’aider à y voir plus clair et de finalement poser des mots sur des ressentis. Et c’est vrai qu’au final, je le fais plus pour moi-même que pour vous en fait (les quelques perdus qui me lisent encore). Et peut-être aussi que l’exercice m’amuse aussi un peu. Et ce que je préfère c’est aussi de relire les articles postés dans cette catégorie x temps après. Parce que je les lis d’un nouvel oeil. Et je finis par mieux me comprendre, encore et toujours.

M’enfin bref. Tout ça pour dire que je fais des insomnies. Et vous, ça va ?

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Publié le 17 juin 2013, par dans Uncategorized.

Livre AudioSolidaire - Valentin Haüy

Ça y est, c’est reparti ! L’Association Valentin Haüy lance la 4ème édition de son Livre Audiosolidaire !

J’en avais déjà parlé pour la 3ème édition et cette année, je vous en reparle pour sa nouvelle édition. Cette fois-ci, on se penche sur un livre de Daniel Pennac, Au bonheur des ogres.

Vous ne savez pas de quoi je parle ? Et bien c’est très simple, le Livre AudioSolidaire, c’est permettre aux personnes aveugles ou malvoyantes de découvrir une oeuvre littéraire grâce à votre voix. Car ce sera vous les acteurs de cette édition. Chacun de nous peut aller enregistrer un extrait du roman et ainsi participer à l’aventure. Il suffit d’aller sur http://audiosolidaire.avh.asso.fr, cliquer sur Je m’enregistre, et c’est parti. Vous créez un compte, et vous découvrez l’extrait que vous avez à lire.

L’extrait est difficile, ou vous ne l’aimez tout simplement pas ? Pas de problème, vous pouvez en changer. Et pour ça, vous avez juste besoin d’un micro !

Oui, je sais. C’est pas évident de lire à haute voix surtout quand on a quitté les bancs de l’école depuis des lustres et qu’on n’a pas une activité d’orateur, mais avec un petit effort vous pourrez participer à une bien jolie action.

Personnellement, je n’ai toujours pas eu le temps d’aller donner ma voix pour cette édition, mais vous pouvez être sûr que je ne vais pas tarder à le faire. Parce que l’idée me plaît, parce que finalement, ça ne prend pas beaucoup de notre temps pour y participer et que de ce fait, VOUS N’AVEZ PLUS D’EXCUSE !

Bref, allez-y :p

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