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Publié le 30 août 2011, par dans Cinéma.

Mes Meilleures AmiesBon… Dimanche avec Akikazu, on a décrété qu’on allait se faire une journée purement de filles et on n’a pas fait les choses à moitié…

On a commencé par Meilleures Ennemies, on a terminé par Bad Teacher… Mais au milieu de ces deux films, il y a eu Mes Meilleures Amies.

Et là, je ne comprends pas. Je ne comprends pas les critiques « élogieuses » que ce film a pu avoir. Alors je me dis que j’ai dû passer à côté du film, non ?

Ou alors, plus simple, ce sont les autres qui disent n’importe quoi. J’aime bien cette façon de penser là 😀

J’ai trouvé Mes Meilleures Amies totalement décousu, absolument ridicule et absurde mais alors surtout pas drôle.

Déjà, la scène d’ouverture, on se demande ce que c’est comme film à la limite du « mais c’est bien le bon film ? ». Et tout le film enchaine des scènes sans queue ni tête avec des transitions sans aucun sens.

Je suis normalement excellent public pour ce genre de films. Mais vraiment très bon public. C’est normalement le genre de films dont je me gave tout le long de l’année et là je me suis emmerdée et royalement. Je me suis demandée pourquoi on pouvait m’infliger ce genre de films et surtout pourquoi on acceptait de sortir des films pareils.

Je vais finir par croire que je n’ai pas vu le même film que tous les gens qui ont encensé ce film. Ou alors, le film était tellement subtil que je suis trop idiote pour le comprendre.

Ce film est une aberration. N’ALLEZ SURTOUT PAS LE VOIR.

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Publié le 19 août 2011, par dans Blabla.

Oui, je sais, mon titre d’article est absolument fabuleux.

J’avais pour optique d’essayer de faire vivre un peu plus Sweet November et en fait, cette semaine, c’est un peu la dèche niveau article hein ? Je me suis laissée prendre par le week-end du 15 août, puis après j’ai totalement zappé.

Oui, bon, je sais que vous n’attendez pas IMPATIEMMENT un article ici mais on sait jamais. J’ai peut-être des fans en délire dans le coin, là-bas, au fond de la pièce.

Quoiqu’il en soit, je vous fais ce formidable article pour vous dire que je n’ai rien à dire. Je suis donc en train d’écrire l’article le plus intéressant de toute la blogosphère et de ce fait, vous vous devez d’être le plus honoré du monde. Si si. Vous imaginez pas la chance que vous avez pour le coup.

Plus sérieusement, si. Je pourrais vous raconter des choses sur mon humeur tout ça mais en fait, je ne suis pas sûre d’en avoir envie. Enfin, dans le sens que oui peut-être ça pourrait être utile que j’en parle mais ma foi, je le fais au cas par cas et pas en public comme ça, c’est indécent (Akikazu et ShadowKris BONJOUUR – comment ça je vous saoule avec mes histoires).

Mais sinon je vais bien hein. Enfin je crois. En tout cas, j’ai l’air assez normale. Dans la mesure du possible bien sûr (vu que la normalité ne fait pas parti de mon vocabulaire).

Bon mais pour vous dire un petit peu. En vrai, je suis un peu fatiguée. Pas physiquement. M’enfin bref. Je vais m’arrêter là parce que sinon je vais me mettre à développer tout ça tout ça (si tant est qu’il y ait quelque chose de nouveau à développer en fait), et c’est pas intéressant.

Sinon, j’ai un nouveau vernis.

Oui, ma vie est wonderful.

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Publié le 12 août 2011, par dans Livres.

Summer and the cityJe ne m’attendais pas à le finir aussi vite en fait. Pour vous rappeler le truc, j’ai fini The Carrie Diaries lundi soir. Et Summer and The City, je l’ai fini mercredi soir…

Alors ce n’est pas que j’étais tellement accrochée au bouquin que je ne pouvais pas le lâcher, mais ce livre se lit tellement facilement, qu’il est passé tout seul. Personnellement, je l’ai trouvé d’une grande fluidité. De ce fait, comme de base, je lis déjà très rapidement, quand en plus c’est hyper fluide, bin, j’avale le bouquin encore plus rapidement (même quand c’est en anglais).

Bref. Passons au bouquin.

Bon, on est toujours soit-disant dans une collection pour ado (mais je vais encore une fois me répéter, le style est exactement le même que pour ses autres livres – si si). Et d’ailleurs, en en discutant avec Akikazu, globalement, si on retrouve cette série dans une collec pour ado, c’est sûrement juste parce que Carrie est encore à l’âge adolescent (ou presque). Au-delà de ça, c’est typiquement du Candace Bushnell. Mais typiquement vraiment.

On retrouve cette fois-ci Carrie à New York. Là où elle a toujours rêvé d’être. Elle est à NY pour l’été à l’occasion d’un séminaire d’écriture.

Globalement, ce livre développe plus ou moins l’histoire d’amour entre Carrie et NY. On la voit apprivoiser la ville et prendre ses marques. On voit aussi qu’elle développe un style vestimentaire… particulier 😀 Et puis aussi qu’elle commence à people-iser (si je puis dire).

Bref, je l’ai trouvé un peu plus sympa à lire que The Carrie Diaries parce que finalement, on commence à repérer la Carrie qu’on connait et qu’on commence « comprendre » comment elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui (enfin façon de parler voyez).

Sinon, s’il n’y a pas de tome 3, je comprends pas. Parce que vu la fin de ce tome, ce serait dommage de pas en sortir un 3ème (tant qu’à faire hein…).

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Publié le 11 août 2011, par dans Jeux Vidéos & Actus.

Dungeon Siege IIIIl est sorti depuis un bon petit moment maintenant, pour être exacte, le 17 juin.

Je ne sais pas si vous connaissez la série de Dungeon Siege, à l’origine, c’était un jeu sur PC dont le 1er opus est sorti en 2002.

A l’époque, j’étais fan. J’ai joué des heures sur le 1 + l’extension. Et même chose pour le 2. Puis la série s’est arrêtée.

Et soudain, on apprend qu’un 3ème opus est en préparation. Et qu’en plus, le jeu sera aussi porté sur nos chères consoles. Heureusement en fait, parce que depuis 2002, autant le dire, j’ai quand même sacrément délaissé les jeux sur PC (WoW et les autres MMORPG ne comptent pas :D).

Je me suis donc ruée sur le 3ème opus. Embarquant une édition limitée au passage. Edition limitée pas intéressante par son contenu mais par son prix (un poil moins chère que la version normale en fait). Mais bref, passons donc au test !

Musique

Rien de particulier à relever en fait. La musique accompagne tranquillement le jeu, elle est sympathique mais pas suffisamment exceptionnelle pour qu’on la retienne ou pour qu’on se dise : je veux l’OST. Les bruitages sont corrects mais pas très nombreux. Bref, tout ça pour dire que la musique n’est pas mauvaise mais que ce n’est pas pour elle qu’on se remémorera le jeu.

Graphisme

Le jeu est plutôt assez beau. Les effets des attaques sont plutôt jolis. J’aime beaucoup les décors. On n’est pas époustouflé, certes, mais c’est joli et agréable à l’oeil. Et ma foi, c’est tout ce qui compte, non ?

Bon j’avoue, la modélisation des personnages n’est pas parfaite et ils sont tous un peu mono-expression mais bon, ça, on le remarque dans les petits passages du scénario. En jeu, on s’en fout en fait.

Jouabilité

J’avais très peur quand même du portage sur console et finalement, ça passe plutôt pas trop mal. Mais le jeu requiert quand même une petite prise en main parce que de base, il y a certaines choses que je n’aurais pas nécessairement attribué au même bouton qu’eux l’ont fait. Mais une fois capté, ça va quand même tout seul. Ce qui est quand même sûr, c’est qu’il faudra un petit temps d’adaptation pour arrêter de réfléchir à quel bouton correspond telle action :p

Scénario

Un scénario assez classique. Vous faites parti de la légion. Votre ennemi se nomme Jeyne Kassynder. Et vous devez l’arrêter avant qu’elle détruise tout sur son passage (je vous la fais courte hein). Donc de base, c’est simpliste. Ce qui ne plaira aux joueurs acharnés, c’est que par moment, les passages de narration peuvent sembler longs et c’est sûr que quand tout ce qu’on attend c’est de rétamer la tête de tout le monde, ça vous coupe un peu dans votre élan. Mais moi, ça me dérange pas tant que ça en fait.

Durée de vie

Relativement correcte. Mais la linéarité du jeu fait qu’on n’aura pas nécessairement tendance à recommencer le jeu en choisissant un autre personnage. Mais on est fan ou on ne l’est pas, n’est-ce pas ?

Conclusion

Personnellement, ce nouvel opus ravit mon attente. Je ne suis pas déçue. Je suis même emballée parce que j’en veux un autre. J’aime beaucoup l’idée de pouvoir jouer en co-op avec une autre personne (que ce soit en local ou en ligne). Le seul bémol c’est que je trouve que niveau évolution du personnage, on est un peu limité. J’ai dans mon souvenir d’avoir plus de liberté dans les précédents DS.

Bref, moi perso, je vous le conseille. Mais je ne suis pas objective vous allez me dire comme je suis une fan de la série ^^

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Publié le 10 août 2011, par dans Blabla, Réflexions.

Le 27 février 2007, j’écrivais un article dans lequel je parlais des smilies ou l’art d’avoir l’air aimable.

Nous sommes le 10 août 2011. Et cet article est toujours d’actualité. Sauf que là, on va sauter du contexte forum au contexte mail. Ou alors dans la globalité des correspondances webesques (oui, néologisme quand tu nous tiens).

Je ne suis pas une fanatique du smiley quand je sors de la conversation typiquement MSN (donc si vous suivez ce que je veux dire, si on sort du chat, j’évite les smilies).

De ce fait, quand j’écris un mail dans lequel on me demande mon avis, et bien, je donne mon avis. Qu’il soit positif ou négatif, je le donne. De façon entière, de façon honnête, sans l’entourer de fioritures inutiles parce que je suis comme ça, je vais droit au but.

Sauf que (oui, il y a toujours un sauf dans le vie), les gens qui ne me connaissent pas pensent que je ne suis pas quelqu’un de très… comment dire… Je reformule, les gens qui ne me connaissent pas auront tendance à me voir comme une personne négative. Genre, j’ai toujours quelque chose à redire.

Mais non. Ce n’est pas que j’ai quelque chose à REdire. J’ai juste quelque chose à dire. Et si les gens ne veulent pas entendre ce que j’ai à dire, dans ce cas-là, on ne me demande pas mon avis. Donc comprenez que si vous voulez que des « OH CAY TROP BIENG » ou « OH TROP GENIAL TAY TROP FORTE », ne me demandez pas mon avis. Parce que je ne suis pas comme ça. Parce que dans ma logique des choses, si on veut quelque chose de bien, il faut bien pointer les choses qui ne vont pas et on n’est pas là pour faire l’autruche pour brosser tout le monde dans le sens du poil.

De ce fait, je passe pour une emmerdeuse alors qu’en fait, je dis juste ce que je pense. Et qu’en plus, j’ose le dire en ne mettant pas nécessairement les formes (et encore, je considère que je suis toujours suffisamment polie, ça va quoi, je ne suis pas une rustre non plus, faut pas déconner). Et du coup, on en revient au sujet :

L’art d’utiliser des smilies pour faire croire qu’on dit tout avec le smile.

Et que globalement, on pourrait dire toutes les atrocités du monde qu’on veut par mail mais que si c’est dit avec des smilies, ça passe comme une lettre à la poste.

Exemple :

– Vous êtes toutes et tous des connards sans nom.
– Vous êtes toutes et tous des connards sans nom ^^

Vous avez vu la magie du smiley ?

BREEEEEEF. Les smilies m’emmerdent. Et donc comme la fois dernière, je vais aller en bouffer à la vinaigrette. Et puis merde. Les gens m’emmerdent et puis c’est tout.

PS : de rien pour cet article Ô combien intéressant.

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