Oui en vrac, parce que j’ai pas réellement le temps de faire mieux et au final, j’ai tellement de petites choses à dire que ce serait trop chiant de les tumbler à la suite alors du coup j’en fais un fouilli dans un seul article (oui je sais pas quoi faire de mon tumblr en fait).
– Ce sont les soldes. Et c’est la loose. Pour moi. J’ai très (très très) envie d’une paire de chaussures soldées à 58€. Mais je n’ai pas les moyens. Je viens de vérifier, après quelques calculs, ce n’est pas envisageable. Dîtes mes chers lecteurs, vous auriez pas envie de devenir mes généreux donateurs ? (rooh vous offusquez pas, je rigole).
– Je me suis cassée un ongle. Oui ce n’est pas la fin du monde mais pour moi qui prend des photos de mes vernis, ça la fout mal quand on vient de se péter l’ongle du majeur quasiment complètement (doit me rester un tout petit millimètre de bord libre). J’ai quand même tenté de prendre des photos de cette main… Vous verrez le résultat incessamment sous peu (et pas le droit de se moquer).
– Rush de folie pour la fac. Disons que j’ai essuyé un sale coup. On m’apprend un peu à la dernière minute qu’un de mes dossiers n’est pas valide (j’avais repris un bon 3/4 de ma partie théorique de mon mémoire pour un dossier). On me propose de le refaire le plus rapidement possible. Je m’exécute, je change de thématique et choisis « le recrutement et les outils du web 2.0 ». Jusque là, ça pouvait aller. Je reçois un autre mail me disant que suite à une discussion avec d’autres professeurs, il s’avère que j’ai de la chance de me faire corriger ce dossier car en temps normal ça devrait être 0 et que la question de ma conscience professionnelle se pose. Et là je peux vous dire que j’hallucine. M’enfin, je vous explique ça en gros avec des raccourcis. Autant vous dire que ça m’énerve pas mal toute cette histoire.
– Mais parfois, il y a des bonnes choses à la fac. 17 à la soutenance de mon mémoire.
– J’ai pu essayer le Nokia e75. Je reviendrai plus en détail dessus plus tard, mais disons que mon avis est mitigé. Il me plaît sans réellement me plaire.
– Putain de chaussures.
