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Publié le 19 novembre 2006, par dans Réflexions.

En fait, je ne sais pas à quoi va ressembler cet article. Je ne sais pas non plus si ce que je raconte est réellement ce que je ressens au plus profond de moi-même ou si c’est seulement du à une certaine impression de fatigue que je me traine depuis plusieurs semaines. Mais bref. Commençons donc l’article au lieu de tergiverser.

Voilà. Il y a des jours où je me demande si un jour, je serai réellement psychologue du travail. Comment dire. Il y a des jours où je suis sure d’avoir pris la bonne voie. Où je suis sure que je travaillerai là-dedans plus tard. Où je suis sure que ça va me plaire. En bref, où je suis sure de moi.
Puis il y a d’autres jours. Des jours où je demande vraiment si je vais y arriver, sans rire. Des jours où j’ai réellement l’impression d’être bonne à rien (enfin, en quelques sortes). Des jours où je me demande si je me suis pas plantée d’orientation parce qu’au final, la psycho, c’est bien, mais après? Est-ce que ça me « passionne » suffisamment pour faire ça toute ma vie. Tenez d’ailleurs, qu’est-ce qui me passionne?

Enfin.
Heureusement que j’arrive pas à mes 30 ans, sinon, on me dirait que c’est normal, que c’est le passage de la trentaine qui voudrait ces éventuelles remises en question.

Encore que, je ne suis même pas sure qu’on puisse appeler cela des remises en question. Ma foi, ce ne sont peut-être que de simples interrogations, qui au final passent dans toutes les têtes.
Enfin, je sais pas. Je dirai qu’à l’heure actuelle, mon avenir professionnel reste un flou artistique. Cela me fait peur. Vraiment. Et du coup, je crois j’occulte le problème en disant à qui veut l’entendre que plus tard, je serai psychologue du travail. Alors oui, je le serai peut-être, ou tout du moins, j’aurai un diplôme pour le dire, mais et alors?

Bon. Cet article ne ressemble à rien.

Moi ça va, et vous?

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